Dans ce pauvre Maroc sans
boussole,
où tout le monde bricole,
sans vues ni voies claires,
tous tiennent à s’abstraire,
sans futur ni horizons,
marchent sur un faux gazon,
des jeunes proie des poissons,
victimes des voleurs à
l’unisson,
larmes et frisson,
j’ai appris qu’il y a deux
choses,
parmi les causes,
et dont on peut très bien s’en
passer,
les deux qui ont fini par nous
angoisser,
les partis politiques à nous
tracasser,
et ce qu’on appelle le
parlement,
ça nous coûte beaucoup bien
chèrement,
sans aucun résultat ni
rendement.
Tanger 21/09/2018
Dr Mohamed El Idrissi
Dr Mohamed El Idrissi
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